vendredi 31 janvier 2014
jeudi 30 janvier 2014
mercredi 29 janvier 2014
mardi 28 janvier 2014
lundi 27 janvier 2014
dimanche 26 janvier 2014
La Côte d'Azur, terre de cirque
Alors que s'est ouvert le Festival de Monte-Carlo, enquête sur les pistes aux étoiles azuréennes.
La Côte d'Azur, ses criques, ses étoiles. La Côte d'Azur, ses cirques, ses pistes aux étoiles… Une valse à trois temps entre ces deux mondes liés l'un à l'autre par la magie de nos côtes. Le grand Charlie Rivel, Achille Zavatta, la famille Gruss, le clown Grock, les frères Fratellini : les plus grands noms sont passés par ici un jour ou l'autre.
Le sujet est d'une brûlante actualité. Le 38e Festival international du cirque de Monaco a ouvert ses portes jeudi 16 janvier. Depuis, près de 50 000 spectateurs ont assisté à l'événement monégasque qui prend fin aujourd'hui. Du très grand spectacle avec, entre autres, un tableau de 30 chevaux ou le magicien le plus rapide au monde. Il laissera ensuite la place, les 1er et 2 février, à une autre belle manifestation, « New generation », qui offre leur chance aux plus jeunes espoirs de la piste aux étoiles.
Ce festival est l'occasion de regarder d'un peu plus près cette culture circacienne que le Festival a essaimé sur la côte au fil de ses éditions. A commencer par le Centre régional des arts du cirque, basé à La-Roquette-sur-Siagne. « Piste d'azur » est un véritable lieu de formation, où se forment les futures générations. Une structure extrêmement dynamique qui annonçait à la rentrée un taux de remplissage de 81,1 %.
Quand on parle cirque sur la Côte d'Azur, on pense évidemment à Alain Frère, passionné devant l'éternel . Conseiller du Festival international de Monte Carlo, bible vivante des arts du cirque, il a ouvert son musée dédié à la piste aux étoiles, à Tourrette-Levens. Et ouvert une école, « Tous en piste ». La Côte d'Azur accueille aussi les plus grands chapiteaux, à l'image de Medrano ou de Arlette Gruss, qui s'installe ainsi à Cabris, puis Valbonne et Nice durant l'été.
Le cirque et la Côte d'Azur ont véritablement noué, grâce à Monaco, une belle histoire d'amour.
http://www.nicematin.com/cote-dazur/la-cote-dazur-terre-de-cirque.1596916.html
La Côte d'Azur, ses criques, ses étoiles. La Côte d'Azur, ses cirques, ses pistes aux étoiles… Une valse à trois temps entre ces deux mondes liés l'un à l'autre par la magie de nos côtes. Le grand Charlie Rivel, Achille Zavatta, la famille Gruss, le clown Grock, les frères Fratellini : les plus grands noms sont passés par ici un jour ou l'autre.
Le sujet est d'une brûlante actualité. Le 38e Festival international du cirque de Monaco a ouvert ses portes jeudi 16 janvier. Depuis, près de 50 000 spectateurs ont assisté à l'événement monégasque qui prend fin aujourd'hui. Du très grand spectacle avec, entre autres, un tableau de 30 chevaux ou le magicien le plus rapide au monde. Il laissera ensuite la place, les 1er et 2 février, à une autre belle manifestation, « New generation », qui offre leur chance aux plus jeunes espoirs de la piste aux étoiles.
Ce festival est l'occasion de regarder d'un peu plus près cette culture circacienne que le Festival a essaimé sur la côte au fil de ses éditions. A commencer par le Centre régional des arts du cirque, basé à La-Roquette-sur-Siagne. « Piste d'azur » est un véritable lieu de formation, où se forment les futures générations. Une structure extrêmement dynamique qui annonçait à la rentrée un taux de remplissage de 81,1 %.
Quand on parle cirque sur la Côte d'Azur, on pense évidemment à Alain Frère, passionné devant l'éternel . Conseiller du Festival international de Monte Carlo, bible vivante des arts du cirque, il a ouvert son musée dédié à la piste aux étoiles, à Tourrette-Levens. Et ouvert une école, « Tous en piste ». La Côte d'Azur accueille aussi les plus grands chapiteaux, à l'image de Medrano ou de Arlette Gruss, qui s'installe ainsi à Cabris, puis Valbonne et Nice durant l'été.
Le cirque et la Côte d'Azur ont véritablement noué, grâce à Monaco, une belle histoire d'amour.
http://www.nicematin.com/cote-dazur/la-cote-dazur-terre-de-cirque.1596916.html
vendredi 24 janvier 2014
jeudi 23 janvier 2014
mercredi 22 janvier 2014
mardi 21 janvier 2014
Essonne : pas de visas pour les fauves russes du cirque de Massy
Un coup de griffe pour le Festival international du cirque de Massy (Essonne). Les fauves du couple de dresseurs russes Natalia et Andrey Shirolakov, un des numéros phare de la 22e édition qui débute jeudi, sont bloqués depuis cinq jours sur un parking polonais « faute de visa », selon l’un des organisateurs de l’événement, Didier Richard. Les félins — quatre tigres, deux panthères mouchetées et deux autres noires — ne seront pas présents en fin de semaine sur la prestigieuse piste aux étoiles.
« Le passeport des animaux mentionne bien qu’ils sont nés en captivité, mais un expert du Muséum national d’histoire naturelle de Paris refuse de leur octroyer un visa. Il réclame les passeports des grands-parents des animaux! C’est un abus de droit », clame-t-on au festival, qui a annoncé hier son intention de porter l’affaire devant les tribunaux pour réclamer « le remboursement des frais engagés et du préjudice subi ».
« C’est la première fois que cela nous arrive, déplore Didier Richard. Le dossier administratif examiné par les services vétérinaires est pourtant en règle. » Le cirque dispose également d’une personne titulaire d’un certificat de capacité à prendre soin des animaux de la faune sauvage présents lors du festival. C’est la Direction départementale de la protection des populations qui est chargée de l’approbation de ces compétences. « Ce certificat est une particularité légale française, qui n’existe nulle part ailleurs en Europe. Nos artistes étrangers ne l’ont évidemment pas, mais sont couverts par notre personne habilitée. Là aussi, nous n’avons rien à nous reprocher », précise Didier Richard. A Massy, tout était prêt pour accueillir les fauves russes. Le festival va par ailleurs envoyer de la nourriture aux animaux stationnés en Pologne « dans un camion chauffé, sans eau ni soins ».
Les organisateurs voient dans cet « excès de zèle » une volonté de s’en prendre à la présence des animaux sous les chapiteaux. « Je suis intervenu auprès du préfet avant le week-end pour débloquer la situation, mais ce n’est pas de son ressort. Les organisateurs ont toute ma confiance. Après, je ne peux pas dire s’il y a eu un excès de zèle. Parfois, des évolutions dans la réglementation peuvent avoir un impact. Mais, sinon, je réagirai très fortement », analyse le maire de Massy, Vincent Delahaye (UDI). Une loi votée en décembre interdira d’ailleurs dès le mois de mars la présence de bêtes sauvages dans les cirques en Belgique. « Tout est fait pour le bien-être des animaux. Nous y faisons très attention. Nous produisons par exemple cette année un numéro avec des ours. Ils ont enregistré une naissance en captivité récemment. C’est bien la preuve qu’ils sont heureux », confie Didier Richard, qui assure que « le public français en est très friand et réclame ces numéros ».
Le spectacle annulé promettait d’être particulièrement spectaculaire. Il mêle des espèces sauvages différentes qui, en liberté, ne peuvent se côtoyer. « La présence de panthères dans la cage centrale d’un cirque est aujourd’hui devenue rarissime », regrette-t-on au festival. Ce show sera donc remplacé au pied levé par les fauves d’un dompteur français. Mais cette affaire reste un coup dur pour le festival, qui était intitulé cette année… « Des animaux et des hommes ».
http://www.leparisien.fr/essonne-91/essonne-pas-de-visas-pour-les-fauves-russes-du-cirque-de-massy-21-01-2014-3515277.php
« Le passeport des animaux mentionne bien qu’ils sont nés en captivité, mais un expert du Muséum national d’histoire naturelle de Paris refuse de leur octroyer un visa. Il réclame les passeports des grands-parents des animaux! C’est un abus de droit », clame-t-on au festival, qui a annoncé hier son intention de porter l’affaire devant les tribunaux pour réclamer « le remboursement des frais engagés et du préjudice subi ».
« C’est la première fois que cela nous arrive, déplore Didier Richard. Le dossier administratif examiné par les services vétérinaires est pourtant en règle. » Le cirque dispose également d’une personne titulaire d’un certificat de capacité à prendre soin des animaux de la faune sauvage présents lors du festival. C’est la Direction départementale de la protection des populations qui est chargée de l’approbation de ces compétences. « Ce certificat est une particularité légale française, qui n’existe nulle part ailleurs en Europe. Nos artistes étrangers ne l’ont évidemment pas, mais sont couverts par notre personne habilitée. Là aussi, nous n’avons rien à nous reprocher », précise Didier Richard. A Massy, tout était prêt pour accueillir les fauves russes. Le festival va par ailleurs envoyer de la nourriture aux animaux stationnés en Pologne « dans un camion chauffé, sans eau ni soins ».
Les organisateurs voient dans cet « excès de zèle » une volonté de s’en prendre à la présence des animaux sous les chapiteaux. « Je suis intervenu auprès du préfet avant le week-end pour débloquer la situation, mais ce n’est pas de son ressort. Les organisateurs ont toute ma confiance. Après, je ne peux pas dire s’il y a eu un excès de zèle. Parfois, des évolutions dans la réglementation peuvent avoir un impact. Mais, sinon, je réagirai très fortement », analyse le maire de Massy, Vincent Delahaye (UDI). Une loi votée en décembre interdira d’ailleurs dès le mois de mars la présence de bêtes sauvages dans les cirques en Belgique. « Tout est fait pour le bien-être des animaux. Nous y faisons très attention. Nous produisons par exemple cette année un numéro avec des ours. Ils ont enregistré une naissance en captivité récemment. C’est bien la preuve qu’ils sont heureux », confie Didier Richard, qui assure que « le public français en est très friand et réclame ces numéros ».
Le spectacle annulé promettait d’être particulièrement spectaculaire. Il mêle des espèces sauvages différentes qui, en liberté, ne peuvent se côtoyer. « La présence de panthères dans la cage centrale d’un cirque est aujourd’hui devenue rarissime », regrette-t-on au festival. Ce show sera donc remplacé au pied levé par les fauves d’un dompteur français. Mais cette affaire reste un coup dur pour le festival, qui était intitulé cette année… « Des animaux et des hommes ».
http://www.leparisien.fr/essonne-91/essonne-pas-de-visas-pour-les-fauves-russes-du-cirque-de-massy-21-01-2014-3515277.php
lundi 20 janvier 2014
dimanche 19 janvier 2014
vendredi 17 janvier 2014
jeudi 16 janvier 2014
mercredi 15 janvier 2014
Bourg-de-Péage: Dani Lary aux frontières du réel
Il pousse les limites du possible et de l’imaginable… Le magicien Dani Lary se lance dans une grande tournée nationale avec son tout nouveau spectacle “Rétro Temporis”. La première a eu lieu, chez lui, dans la Drôme, à Châteauneuf-sur-Isère.
Illusionniste de talent, le Péageois plonge ainsi les spectateurs dans l’univers imaginaire de Jules Verne. “Rétro Temporis” serait en effet l’ouvrage écrit par l’auteur du “Tour du monde en 80 jours”, dans lequel il raconterait les aventures du “Professeur Lary”.
Des défis et des expériences agrémentent le show de plus de deux heures. Et le magicien ne rechigne pas à la tâche, se mettant lui-même en boîte pour… rétrécir.
Les 800 spectateurs du palais des congrès Sud Rhône-Alpes auront, c’est sûr, retenu leur souffle quand le Professeur Lary s’est retrouvé enfermé dans une cage immergée dans l’eau.
Dans un décor somptueux et des costumes nés de la Belle époque, le magicien réunit tous les ingrédients d’un succès annoncé. Après “La clef des mystères”, “Rétro Temporis” donne encore une autre dimension à l’illusionniste drômois. Le spectacle répond aux attentes des petits comme des grands avec des numéros spectaculaires et humoristiques. Sans oublier une musique omniprésente et un jeu de lumières au diapason.
Dani Lary s’inscrit indéniablement dans le cercle très prisé des magiciens de haut vol comme ses “mentors” Houdini, Houdin, Méliès à qui il rend hommage.
http://www.ledauphine.com/drome/2014/01/14/dani-lary-aux-frontieres-du-reel
Illusionniste de talent, le Péageois plonge ainsi les spectateurs dans l’univers imaginaire de Jules Verne. “Rétro Temporis” serait en effet l’ouvrage écrit par l’auteur du “Tour du monde en 80 jours”, dans lequel il raconterait les aventures du “Professeur Lary”.
Des défis et des expériences agrémentent le show de plus de deux heures. Et le magicien ne rechigne pas à la tâche, se mettant lui-même en boîte pour… rétrécir.
La téléportation : son obsession
Mais son ambition et son obsession tournent autour de la téléportation. Un objectif qu’il parvient par deux fois à réaliser dans ce spectacle où la prise de risque est à son comble.Les 800 spectateurs du palais des congrès Sud Rhône-Alpes auront, c’est sûr, retenu leur souffle quand le Professeur Lary s’est retrouvé enfermé dans une cage immergée dans l’eau.
Dans un décor somptueux et des costumes nés de la Belle époque, le magicien réunit tous les ingrédients d’un succès annoncé. Après “La clef des mystères”, “Rétro Temporis” donne encore une autre dimension à l’illusionniste drômois. Le spectacle répond aux attentes des petits comme des grands avec des numéros spectaculaires et humoristiques. Sans oublier une musique omniprésente et un jeu de lumières au diapason.
Dani Lary s’inscrit indéniablement dans le cercle très prisé des magiciens de haut vol comme ses “mentors” Houdini, Houdin, Méliès à qui il rend hommage.
http://www.ledauphine.com/drome/2014/01/14/dani-lary-aux-frontieres-du-reel
mardi 14 janvier 2014
lundi 13 janvier 2014
Tous en piste pour le Festival du cirque à Monte-Carlo
Cette année encore, la plus prestigieuse manifestation mondiale du genre réunira du 16 au 26 janvier la quintessence des arts circassiens à Fontvieille
C'est reparti pour un tour de piste sous le chapiteau de Fontvieille ! Pour sa 38 e édition qui se tiendra du 16 au 26 janvier, le Festival international du cirque de Monte-Carlo promet d'être plus que jamais haut en couleur. Parmi les prestigieux invités triés sur le volet, on retiendra tout d'abord la présence de la troupe Vavilov (Grand Cirque de Moscou). Elle présentera deux numéros dont une attraction unique au monde : un voltigeur propulsé à la force des bras par deux porteurs, qui exécutera un triple saut périlleux. Les artistes de la troupe Vavilov nous éblouiront aussi avec une séquence de voltige et sauts en tous genres, exécutés à partir d'une plate-forme suspendue à quatre filins qui s'élèvera progressivement au sommet du chapiteau. La grande troupe de bascule de Dimitri Sokolov(Cirque Nikouline, Russie) offrira au public un numéro au cours duquel les artistes, habillés à la mode du XVIIIe siècle, réaliseront une succession de figures inouïes, dont un triple saut périlleux sur une seule échasse. Du côté des Russes encore, la troupe Dobrovolsky a elle aussi innové en créant un numéro de trapèze volant, à partir de mâts plantés sur la piste. Exécuté sur la célèbre chanson d'Elvis Presley It's now or never, ce numéro permettra au public de se rendre compte que l'on peut faire du trapèze volant... sans trapèze !
C'est reparti pour un tour de piste sous le chapiteau de Fontvieille ! Pour sa 38 e édition qui se tiendra du 16 au 26 janvier, le Festival international du cirque de Monte-Carlo promet d'être plus que jamais haut en couleur. Parmi les prestigieux invités triés sur le volet, on retiendra tout d'abord la présence de la troupe Vavilov (Grand Cirque de Moscou). Elle présentera deux numéros dont une attraction unique au monde : un voltigeur propulsé à la force des bras par deux porteurs, qui exécutera un triple saut périlleux. Les artistes de la troupe Vavilov nous éblouiront aussi avec une séquence de voltige et sauts en tous genres, exécutés à partir d'une plate-forme suspendue à quatre filins qui s'élèvera progressivement au sommet du chapiteau. La grande troupe de bascule de Dimitri Sokolov(Cirque Nikouline, Russie) offrira au public un numéro au cours duquel les artistes, habillés à la mode du XVIIIe siècle, réaliseront une succession de figures inouïes, dont un triple saut périlleux sur une seule échasse. Du côté des Russes encore, la troupe Dobrovolsky a elle aussi innové en créant un numéro de trapèze volant, à partir de mâts plantés sur la piste. Exécuté sur la célèbre chanson d'Elvis Presley It's now or never, ce numéro permettra au public de se rendre compte que l'on peut faire du trapèze volant... sans trapèze !
Quant à la troupe de Wuhan (Chine), elle a développé une discipline traditionnelle du cirque : les jeux icariens. Sur deux plates-formes fixées à un axe central en rotation qu'ils rejoignent à partir de trampolines, les artistes réalisent les équilibres les plus invraisemblables. Un véritable défi aux lois de l'apesanteur ! Pêle-mêle, on verra aussi un grand numéro avec cinq éléphants, un tableau de trente chevaux, ou encore Hans Klok, le magicien le plus rapide du monde. Mais le Festival international du cirque de Monte-Carlo, c'est aussi New Generation, la compétition pour les jeunes artistes qui aura lieu pour la troisième fois les 1er et 2 février sous le chapiteau de Fontvieille. Quelque quinze artistes internationaux, clowns et animaux se produiront devant un jury présidé par Pauline, la fille aînée de la Princesse Stéphanie, pour gagner le Junior d'or, d'argent ou de bronze... Que le spectacle commence, et que le meilleur gagne ! Saut périlleux sur une seule échasse ou trapèze volant... sans trapèze !
dimanche 12 janvier 2014
vendredi 10 janvier 2014
jeudi 9 janvier 2014
mercredi 8 janvier 2014
Juste majeur et déjà connu pour faire son cirque dans l’Hexagone
Si on avait dit à Cyril Guiziou il y a quelques années, qu’il ferait carrière dans le monde du cirque, il aurait probablement éclaté de rire. Car être passionné de la piste aux étoiles est une chose, mais de là à en faire son métier en est une autre : « Je n’avais aucune expérience dans ce domaine, ni d’attaches d’ailleurs. Ma mère est vendeuse et mon père fonctionnaire à La Poste. Comme quoi, pas besoin de faire partie d’une troupe de cirque pour y faire carrière. »
Et même quand on a, comme lui, un parcours plutôt... atypique : « Après le divorce de mes parents, ma mère a quitté Chartres pour Soissons, sa ville d’origine. Je l’ai suivie et j’ai étudié au lycée Le Corbusier dans la section « construction de maison en bois ». Un secteur que je croyais porteur car j’étais très sensible à l’écologie et au développement durable. »
Des études qu’il a menées avec brio (NDLR : il a été bachelier à dix-sept ans) et qui n’ont pas vraiment suffit à éteindre sa passion pour le monde du chapiteau : « Depuis que j’ai trois ans, je suis un mordu de cirque. Et sur point, à Chartres, c’est le paradis, il y en a des compagnies qui font escale et mes parents m’y ont toujours emmené. J’avais toujours rêvé de travailler dans ce milieu-là. En 2010, j’ai eu l’occasion d’y entrer pour l’été et finalement, je n’en suis jamais reparti ! »
Même s’il a parfois fallu avoir le cœur bien accroché pour rentrer dans un milieu dont il ignorait, au final, presque tout : « Pendant deux étés successifs, j’en ai assumé des postes. J’ai été tout d’abord guichetier, puis garçon de piste.
Je me suis occupé aussi de la publicité puis j’ai été assistant d’artistes. J’ai gravi rapidement les échelons avant que Raoul Gibaud (NDLR : le directeur du cirque Medrano et de la SARL Arena qui gère plusieurs compagnies de cirque) me propose le poste de directeur du Grand cirque sur l’eau. »
Mais aussi l’opportunité de s’affirmer et de prendre confiance en lui : « Aujourd’hui, je gère 80 personnes dont 25 artistes. Et croyez-moi, ce n’est pas si évident quand on a vingt ans. Mes interlocuteurs sont parfois un peu sceptiques, ne me prennent pas toujours au sérieux. C’est un challenge au quotidien.»
Car pour lui, le jeu en vaut la chandelle. Et pas question de se départir de son sourire, même s’il arrive qu’il se retrouve face à des questions logistiques parfois épineuses : « Sur le cirque, il y a énormément de clichés. Or, c’est une véritable leçon de vie. On est toujours sur les routes, on découvre d’autres régions, d’autres mentalités et on apprend beaucoup. Mais on donne aussi beaucoup. Pour moi, c’est cela le cirque, un échange et une communion avec le public. »
http://www.lunion.presse.fr/region/juste-majeur-et-deja-connu-pour-faire-son-cirque-dans-ia3b26n279016
Et même quand on a, comme lui, un parcours plutôt... atypique : « Après le divorce de mes parents, ma mère a quitté Chartres pour Soissons, sa ville d’origine. Je l’ai suivie et j’ai étudié au lycée Le Corbusier dans la section « construction de maison en bois ». Un secteur que je croyais porteur car j’étais très sensible à l’écologie et au développement durable. »
Des études qu’il a menées avec brio (NDLR : il a été bachelier à dix-sept ans) et qui n’ont pas vraiment suffit à éteindre sa passion pour le monde du chapiteau : « Depuis que j’ai trois ans, je suis un mordu de cirque. Et sur point, à Chartres, c’est le paradis, il y en a des compagnies qui font escale et mes parents m’y ont toujours emmené. J’avais toujours rêvé de travailler dans ce milieu-là. En 2010, j’ai eu l’occasion d’y entrer pour l’été et finalement, je n’en suis jamais reparti ! »
Même s’il a parfois fallu avoir le cœur bien accroché pour rentrer dans un milieu dont il ignorait, au final, presque tout : « Pendant deux étés successifs, j’en ai assumé des postes. J’ai été tout d’abord guichetier, puis garçon de piste.
Je me suis occupé aussi de la publicité puis j’ai été assistant d’artistes. J’ai gravi rapidement les échelons avant que Raoul Gibaud (NDLR : le directeur du cirque Medrano et de la SARL Arena qui gère plusieurs compagnies de cirque) me propose le poste de directeur du Grand cirque sur l’eau. »
Le cirque, une leçon de vie
Une opportunité dont il n’en revient toujours pas aujourd’hui : « Je reçois très souvent des coups de fil de mes anciens professeurs du Corbusier parce qu’ils m’ont vu à la télévision. Ils sont scotchés. Mais s’ils savaient... Je le suis autant qu’eux ! Mais ce qui m’anime, c’est la passion et au cirque, j’y ai trouvé mon compte. »Mais aussi l’opportunité de s’affirmer et de prendre confiance en lui : « Aujourd’hui, je gère 80 personnes dont 25 artistes. Et croyez-moi, ce n’est pas si évident quand on a vingt ans. Mes interlocuteurs sont parfois un peu sceptiques, ne me prennent pas toujours au sérieux. C’est un challenge au quotidien.»
Car pour lui, le jeu en vaut la chandelle. Et pas question de se départir de son sourire, même s’il arrive qu’il se retrouve face à des questions logistiques parfois épineuses : « Sur le cirque, il y a énormément de clichés. Or, c’est une véritable leçon de vie. On est toujours sur les routes, on découvre d’autres régions, d’autres mentalités et on apprend beaucoup. Mais on donne aussi beaucoup. Pour moi, c’est cela le cirque, un échange et une communion avec le public. »
http://www.lunion.presse.fr/region/juste-majeur-et-deja-connu-pour-faire-son-cirque-dans-ia3b26n279016
mardi 7 janvier 2014
Le cirque «Blast» éclate au théâtre Sorano
Proposé par le cirque Farouche, à partir de ce soir et jusqu’à dimanche au Sorano, «Blast» est un concert de cirque qui réunit dix-huit artistes indomptables et virtuoses venus du monde entier pour se confronter à l’effet de souffle.
Ces acrobates,- trapéziste, clowns, fil de feristes, musiciens, chanteurs et danseurs-, se retrouvent dans le Cercle des Fous où ils sont censés apprivoiser le vertige et la peur avec tendresse. Il pleut des plumes suite à un boléro aérien, le fil n’a plus de
pieds…
Dans ce rêve-là, le cirque s’affranchit de ses propres codes et «Blast» décrit scène par scène, une certaine idée de l’anarchie, de la poésie et des rêves… à la fois concert épatant et un des plus merveilleux spectacles de cirque du moment «Blast» plein de prouesses, de maîtrise et de poésie s’adresse aux enfants, aux parents…
Au théâtre Sorano, allées Jules Guesde du mardi 7 au dimanche 12 janvier (20 heures du mardi au samedi, dimanche à 16h) De 8 à 18 €. Tel : 0581 917 919.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/01/07/1788982-le-cirque-blast-eclate-au-theatre-sorano.html
Ces acrobates,- trapéziste, clowns, fil de feristes, musiciens, chanteurs et danseurs-, se retrouvent dans le Cercle des Fous où ils sont censés apprivoiser le vertige et la peur avec tendresse. Il pleut des plumes suite à un boléro aérien, le fil n’a plus de
pieds…
Dans ce rêve-là, le cirque s’affranchit de ses propres codes et «Blast» décrit scène par scène, une certaine idée de l’anarchie, de la poésie et des rêves… à la fois concert épatant et un des plus merveilleux spectacles de cirque du moment «Blast» plein de prouesses, de maîtrise et de poésie s’adresse aux enfants, aux parents…
Au théâtre Sorano, allées Jules Guesde du mardi 7 au dimanche 12 janvier (20 heures du mardi au samedi, dimanche à 16h) De 8 à 18 €. Tel : 0581 917 919.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/01/07/1788982-le-cirque-blast-eclate-au-theatre-sorano.html
lundi 6 janvier 2014
dimanche 5 janvier 2014
vendredi 3 janvier 2014
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