dimanche 31 août 2014
vendredi 29 août 2014
jeudi 28 août 2014
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mardi 19 août 2014
lundi 18 août 2014
dimanche 17 août 2014
samedi 16 août 2014
Cirque et cabriole dans le parc du château
Il reste encore deux spectacles à découvrir cet été au château de Laréole, près de Cadours. Place au cirque aujourd'hui et demain avec «Du rififi dans la roulotte !»
Les réjouissances se poursuivent tout l'été au Château de La Réole. La diversité est au programme. Juste après le 15 août, voici venir le cirque de rue La Cabriole. Un cirque pas comme les autres, poétique, bohème, à l'esthétique inspirée du cinéma muet et plus particulièrement de l'univers burlesque de Chaplin, ce qui n'exclut en rien la performance. Au contraire !
Au cœur de cette troupe : deux circassiens : Marie Guerrini et Loïc Arnauld. Des artistes polyvalents, aussi bien jongleurs, acrobates que voltigeurs ou encore musiciens. Ils présenteront un de leurs premiers spectacles qui au bout de dix ans a beaucoup évolué : «Du rififi dans la roulotte».
«Au début on se déplaçait avec la roulotte pour être au plus près des gens. Un désir permanent de notre troupe. C'était notre maison. On a conservé ce mode de déplacement un peu lent pendant un an et demi. Mais on s'est vite aperçus qu'il fallait choisir entre le voyage et faire vivre le spectacle le plus possible. On a choisi le spectacle. Aujourd'hui, la roulotte est toujours là mais les chevaux sont dans la voiture», raconte Marie Guerrini.
Elle donne cet accent bohémien à l'univers du spectacle, mais elle sert aussi de loge, de décor et pour les acrobaties… A ce propos, «on installe un portique léger auquel on fixe une corde lisse et une corde volante. La prouesse est donc là», poursuit Marie.
Le spectacle, qui raconte les relations tumultueuses entre deux saltimbanques (elle lance des couteaux, il est dans la lune), se déroule en musique, sur une bande-son où se mêlent l'accordéon diatonique de Marie, le swing manouche de la guitare de Loïc plus un violon, une contrebasse, un trombone et même un bouzouki. Entre mime, cirque et poésie, ce spectacle est un enchantement !
Y aller : par Blagnac puis D1 (direction Mondonville) ou par L'Isle-Jourdain par la N 124 puis D654 jusqu'à Cologne. Compter 40 minutes.
http://newsletter.ladepeche.fr/Go/index.cfm?WL=31427&WS=291720_2501986&WA=6061
Les réjouissances se poursuivent tout l'été au Château de La Réole. La diversité est au programme. Juste après le 15 août, voici venir le cirque de rue La Cabriole. Un cirque pas comme les autres, poétique, bohème, à l'esthétique inspirée du cinéma muet et plus particulièrement de l'univers burlesque de Chaplin, ce qui n'exclut en rien la performance. Au contraire !
Au cœur de cette troupe : deux circassiens : Marie Guerrini et Loïc Arnauld. Des artistes polyvalents, aussi bien jongleurs, acrobates que voltigeurs ou encore musiciens. Ils présenteront un de leurs premiers spectacles qui au bout de dix ans a beaucoup évolué : «Du rififi dans la roulotte».
«Au début on se déplaçait avec la roulotte pour être au plus près des gens. Un désir permanent de notre troupe. C'était notre maison. On a conservé ce mode de déplacement un peu lent pendant un an et demi. Mais on s'est vite aperçus qu'il fallait choisir entre le voyage et faire vivre le spectacle le plus possible. On a choisi le spectacle. Aujourd'hui, la roulotte est toujours là mais les chevaux sont dans la voiture», raconte Marie Guerrini.
Elle donne cet accent bohémien à l'univers du spectacle, mais elle sert aussi de loge, de décor et pour les acrobaties… A ce propos, «on installe un portique léger auquel on fixe une corde lisse et une corde volante. La prouesse est donc là», poursuit Marie.
Le spectacle, qui raconte les relations tumultueuses entre deux saltimbanques (elle lance des couteaux, il est dans la lune), se déroule en musique, sur une bande-son où se mêlent l'accordéon diatonique de Marie, le swing manouche de la guitare de Loïc plus un violon, une contrebasse, un trombone et même un bouzouki. Entre mime, cirque et poésie, ce spectacle est un enchantement !
Informations utiles
«Du rififi dans la roulotte» est proposé par le conseil général de la Haute-Garonne au château de Laréole samedi 16 et dimanche 17 août à 17 h 30. Gratuit. Tél.05 61 06 33 58 (www.haute-garonne.fr). Egalement exposition «Un siècle d'art en Haute-Garonne» jusqu'au 28 septembre.Y aller : par Blagnac puis D1 (direction Mondonville) ou par L'Isle-Jourdain par la N 124 puis D654 jusqu'à Cologne. Compter 40 minutes.
http://newsletter.ladepeche.fr/Go/index.cfm?WL=31427&WS=291720_2501986&WA=6061
vendredi 15 août 2014
Un boa de 2,5 m disparaît d'un cirque à Roquestéron
Depuis mercredi matin, les gendarmes de Roquestéron - village de 500 habitants niché dans la vallée de l'Estéron - enquêtent sur une affaire insolite.
Ils tentent d'élucider la disparition d'un boa de 2,5 mètres de long, survenue sur le parking de la halle du bourg où stationnait temporairement un cirque ambulant. Le serpent, qui faisait partie des attractions, aurait été volé ou se serait échappé dans la nuit de mardi à mercredi. Selon les deux responsables du cirque Loyal, le boa tacheté de marron, de vert et de noir, n'a pu s'enfuir seul.
La plaque de verre fermant le vivarium étant trop lourde pour que l'animal puisse la soulever. Reste que dérober un tel serpent en pleine nuit, dans le camion de la troupe et en trompant la vigilance des comédiens, paraît extrêmement ardu. C'est pourquoi une autre piste est envisagée : l'animal aurait profité d'un vivarium mal refermé pour goûter à la liberté. Les gendarmes de Roquestéron l'ont vainement cherché hier. Aujourd'hui, le service vétérinaire des pompiers pourrait prendre le relais.
Un village inquiet
Selon ses propriétaires, le boa n'est pas agressif. À condition de ne pas tenter de s'en saisir, auquel cas il peut attaquer. À la requête de la gendarmerie, le maire Danièle Chabaud a donc exhorté, en direct et par voie d'affichage, ses administrés à ne pas attraper le serpent s'ils le rencontrent mais à alerter immédiatement la brigade (ses coordonnées figurent sur les avis à la population). Nul doute que les habitants suivront le conseil. « On est quand même un peu inquiet même s'il n'y a pas de raison de craindre pour notre sécurité» glissait l'un d'eux.
Mardi à 18 heures, le cirque Loyal avait donné une représentation avant que l'un de ses pensionnaires ne disparaisse entre 23 h 30 et 7 h 45 du matin. Mercredi, le cirque a quitté Roquestéron pour l'étape suivante de sa tournée estivale. Espérant récupérer le boa, il a laissé son numéro de téléphone aux gendarmes.
http://www.nicematin.com/nice/un-boa-de-25-m-disparait-dun-cirque-a-roquesteron.1864856.html
Ils tentent d'élucider la disparition d'un boa de 2,5 mètres de long, survenue sur le parking de la halle du bourg où stationnait temporairement un cirque ambulant. Le serpent, qui faisait partie des attractions, aurait été volé ou se serait échappé dans la nuit de mardi à mercredi. Selon les deux responsables du cirque Loyal, le boa tacheté de marron, de vert et de noir, n'a pu s'enfuir seul.
La plaque de verre fermant le vivarium étant trop lourde pour que l'animal puisse la soulever. Reste que dérober un tel serpent en pleine nuit, dans le camion de la troupe et en trompant la vigilance des comédiens, paraît extrêmement ardu. C'est pourquoi une autre piste est envisagée : l'animal aurait profité d'un vivarium mal refermé pour goûter à la liberté. Les gendarmes de Roquestéron l'ont vainement cherché hier. Aujourd'hui, le service vétérinaire des pompiers pourrait prendre le relais.
Un village inquiet
Selon ses propriétaires, le boa n'est pas agressif. À condition de ne pas tenter de s'en saisir, auquel cas il peut attaquer. À la requête de la gendarmerie, le maire Danièle Chabaud a donc exhorté, en direct et par voie d'affichage, ses administrés à ne pas attraper le serpent s'ils le rencontrent mais à alerter immédiatement la brigade (ses coordonnées figurent sur les avis à la population). Nul doute que les habitants suivront le conseil. « On est quand même un peu inquiet même s'il n'y a pas de raison de craindre pour notre sécurité» glissait l'un d'eux.
Mardi à 18 heures, le cirque Loyal avait donné une représentation avant que l'un de ses pensionnaires ne disparaisse entre 23 h 30 et 7 h 45 du matin. Mercredi, le cirque a quitté Roquestéron pour l'étape suivante de sa tournée estivale. Espérant récupérer le boa, il a laissé son numéro de téléphone aux gendarmes.
http://www.nicematin.com/nice/un-boa-de-25-m-disparait-dun-cirque-a-roquesteron.1864856.html
jeudi 14 août 2014
mercredi 13 août 2014
lundi 11 août 2014
dimanche 10 août 2014
vendredi 8 août 2014
jeudi 7 août 2014
mercredi 6 août 2014
mardi 5 août 2014
Cirque : un dompteur agressé par une lionne en pleine représentation
Le dompteur du cirque Fratellini a été attaqué dimanche lors du spectacle donné à Biarritz. Hospitalisé, ses jours ne sont pas en danger.
L'histoire est rapportée ce mardi par Sud-Ouest. Dimanche après-midi, le cirque Fratellini, qui tourne un peu partout en France cet été, était à Biarritz. Comme d'habitude au milieu du spectacle, Stanislas Mordon, le dompteur, entre dans la cage aux lions. Trois femelles sont alors présentes.
Pendant le numéro, deux des lionnes commencent à se battre. Stanislas Mordon tente de les séparer. Mais la troisième s'interpose face à lui et lui assène plusieurs coups de pattes. Le dompteur se relève, ensanglanté, et réussit à sortir de la cage. Les lionnes calmées, il y retourne à nouveau pour annoncer que le numéro est stoppé mais que le spectacle continue. Sa femme l'emmène ensuite dans une clinique de Bayonne. Blessé à de nombreux endroits, il devrait y rester jusqu'à jeudi, selon Sud-Ouest. Mais ses jours ne sont pas danger.
Interrogé par le journal, le père de Stanislas Mordon explique que "la lionne n'a pas voulu tuer". "Elle a donné une gifle".
Pendant le numéro, deux des lionnes commencent à se battre. Stanislas Mordon tente de les séparer. Mais la troisième s'interpose face à lui et lui assène plusieurs coups de pattes. Le dompteur se relève, ensanglanté, et réussit à sortir de la cage. Les lionnes calmées, il y retourne à nouveau pour annoncer que le numéro est stoppé mais que le spectacle continue. Sa femme l'emmène ensuite dans une clinique de Bayonne. Blessé à de nombreux endroits, il devrait y rester jusqu'à jeudi, selon Sud-Ouest. Mais ses jours ne sont pas danger.
Interrogé par le journal, le père de Stanislas Mordon explique que "la lionne n'a pas voulu tuer". "Elle a donné une gifle".
lundi 4 août 2014
dimanche 3 août 2014
samedi 2 août 2014
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