mercredi 29 février 2012
mardi 28 février 2012
lundi 27 février 2012
dimanche 26 février 2012
samedi 25 février 2012
vendredi 24 février 2012
jeudi 23 février 2012
mercredi 22 février 2012
mardi 21 février 2012
lundi 20 février 2012
dimanche 19 février 2012
samedi 18 février 2012
vendredi 17 février 2012
jeudi 16 février 2012
mercredi 15 février 2012
mardi 14 février 2012
lundi 13 février 2012
dimanche 12 février 2012
samedi 11 février 2012
vendredi 10 février 2012
jeudi 9 février 2012
Une médaille d'or pour la funambule
CHALONS-EN-CHAMPAGNE (Marne). Le Cnac à l'honneur à Paris.
« Issue du Centre national des Arts du cirque de Châlons, formée à la technique du funambulisme avec Didier Pasquette et Rudy Omankowsky, Tatiana s'est également perfectionnée au fil de fer avec Isabelle Brisset et Sarah Schwartz. Son numéro mêle d'ailleurs les deux disciplines, accompagnée par un musicien live, son père ».
Telle était la mention que portait le programme du 33e Festival mondial du Cirque de demain qui vient de se dérouler ce week-end à Paris, sous le chapiteau du cirque Phénix implanté sur la pelouse de Reuilly. Festival réservé aux jeunes artistes de moins de 25 ans. Parmi tous ces artistes, figurait Tatiana Mosio Bongonga qui représentait la République démocratique du Congo et la France. Et par la même occasion, la petite ville normande d'Hérouville Saint-Clair où elle a découvert le cirque, et le Cnac de Châlons-en-Champagne où, beaucoup plus tard, elle a suivi ses études pour devenir artiste. Elle faisait partie de la 19e promotion, sortie de l'école en décembre 2008.
« Quand j'avais 8 ans, une image s'est imposée dans ma tête : un homme traversant entre deux immeubles en faisant le funambule » se souvient-elle aujourd'hui.
Son destin était trouvé, et même tracé sur un fil, en quelque sorte derrière ce Didier Pasquette, lui aussi originaire d'Hérouville, lui aussi ancien élève de Châlons (il en est sorti avec la première promotion en 1989), lui aussi funambule professionnel et… professeur au centre châlonnais. Son professeur.
Et pour accentuer encore plus la similitude entre les deux, Didier Pasquette a lui aussi participé au festival mondial du Cirque de demain à Paris, c'était il y une vingtaine d'années, alors au cirque d'Hiver Bouglione.
Mais voilà, l'élève a dépassé le maître. Car si Didier n'y avait obtenu que deux prix spéciaux (déjà une performance), Tatiana a obtenu une superbe médaille d'or avec deux autres numéros, deux numéros canadiens de mât chinois et de planche coréenne, une récompense due à une installation originale et surtout un travail technique remarquable.
Ainsi au palmarès de ce Festival, elle a rejoint Joël Suty, « doré » également avec son épouse Isona. Après une belle carrière notamment au Canada, Joël Suty est lui aussi aujourd'hui, professeur au centre national des arts du cirque de Châlons.
http://www.lunion.presse.fr/article/culture-et-loisirs/une-medaille-dor-pour-la-funambule
« Issue du Centre national des Arts du cirque de Châlons, formée à la technique du funambulisme avec Didier Pasquette et Rudy Omankowsky, Tatiana s'est également perfectionnée au fil de fer avec Isabelle Brisset et Sarah Schwartz. Son numéro mêle d'ailleurs les deux disciplines, accompagnée par un musicien live, son père ».
Telle était la mention que portait le programme du 33e Festival mondial du Cirque de demain qui vient de se dérouler ce week-end à Paris, sous le chapiteau du cirque Phénix implanté sur la pelouse de Reuilly. Festival réservé aux jeunes artistes de moins de 25 ans. Parmi tous ces artistes, figurait Tatiana Mosio Bongonga qui représentait la République démocratique du Congo et la France. Et par la même occasion, la petite ville normande d'Hérouville Saint-Clair où elle a découvert le cirque, et le Cnac de Châlons-en-Champagne où, beaucoup plus tard, elle a suivi ses études pour devenir artiste. Elle faisait partie de la 19e promotion, sortie de l'école en décembre 2008.
« Quand j'avais 8 ans, une image s'est imposée dans ma tête : un homme traversant entre deux immeubles en faisant le funambule » se souvient-elle aujourd'hui.
Son destin était trouvé, et même tracé sur un fil, en quelque sorte derrière ce Didier Pasquette, lui aussi originaire d'Hérouville, lui aussi ancien élève de Châlons (il en est sorti avec la première promotion en 1989), lui aussi funambule professionnel et… professeur au centre châlonnais. Son professeur.
Et pour accentuer encore plus la similitude entre les deux, Didier Pasquette a lui aussi participé au festival mondial du Cirque de demain à Paris, c'était il y une vingtaine d'années, alors au cirque d'Hiver Bouglione.
Mais voilà, l'élève a dépassé le maître. Car si Didier n'y avait obtenu que deux prix spéciaux (déjà une performance), Tatiana a obtenu une superbe médaille d'or avec deux autres numéros, deux numéros canadiens de mât chinois et de planche coréenne, une récompense due à une installation originale et surtout un travail technique remarquable.
Ainsi au palmarès de ce Festival, elle a rejoint Joël Suty, « doré » également avec son épouse Isona. Après une belle carrière notamment au Canada, Joël Suty est lui aussi aujourd'hui, professeur au centre national des arts du cirque de Châlons.
http://www.lunion.presse.fr/article/culture-et-loisirs/une-medaille-dor-pour-la-funambule
mercredi 8 février 2012
mardi 7 février 2012
Valence-d'Agen. Baptiste poursuit son rêve de cirque
C'est le week-end prochain que l'écolier de Goudourville sera propulsé au cœur du chapiteau de Monte-Carlo pour prendre part à la première édition d'un festival de cirque dédié aux jeunes artistes.
« Il arrivera sur place mardi. De mercredi à vendredi ce sont les répétitions. Samedi, il y a deux représentations et dimanche, c'est la remise des récompenses. » Occupé qu'il sera par l'organisation du Salon du livre jeunesse, au même moment à la halle Jean-Baylet, Laurent Demaya, le grand Monsieur Loyal de Noël en cirque à Valence-d'Agen, ne sera pas aux côtés de Baptiste Raffy lors de son séjour monégasque qui le verra prendre part à la première édition du festival de cirque « New Generation ».
à l'entendre décliner l'agenda de celui qu'il surnomme son « fils de cœur » - Baptiste est Mini M. Loyal sur la piste valencienne - il ne fait aucun doute qu'il l'accompagnera par la pensée. Déjà, lorsque Baptiste s'était rendu l'été dernier à Monaco avec ses parents, Fred et Patricia, pour rencontrer le directeur du Festival international du cirque, Urs Pilz, et que rien n'était sûr quant à la sélection du jeune goudourvillois, le directeur du centre de loisirs des Deux-Rives, à Gâches, lui avait adressé un message prémonitoire : « Baptiste, vise la lune, si tu n'y arrives pas, tu toucheras les étoiles ».
« Avant la première édition de Noël en cirque, en 2009, Jacques Bousquet m'avait demandé de trouver un garçon pour incarner le personnage de la mise en piste du spectacle. Un enfant qui croyait encore au Père Noël et qui devait lui faire part de son rêve de cirque. » Laurent Demaya s'apprêtait à faire le tour des enfants du mini-club de Gâches lorsque l'évidence lui est apparue. « Avec ma compagne, Corinne, nous sommes habitués à nous balader à Goudourville et, souvent, on s'arrête chez les parents de Baptiste, qui sont des amis. Lorsque je l'ai vu, à côté de moi, en train de jouer, je me suis dit que je tenais le candidat idéal ». Le visage d'ange de Baptiste ne suffisait pas, il allait falloir vaincre sa timidité enfantine.
L'aventure pouvait commencer et l'aplomb du Mini M. Loyal faire le reste, même si, à quelques jours du grand saut monégasque, l'appréhension se mêle à l'excitation : « Baptiste part un peu dans l'inconnu. Quand il a écrit à la princesse Stéphanie, il lui demandait simplement d'aller voir son cirque. Le voilà propulsé au centre de la piste. Qu'aura-t-il à faire ? Présenter des numéros, réciter un texte… il n'aura que trois jours pour enregistrer tout cela et sera confronté à des vrais enfants de la balle. à Valence-d'Agen, nous l'entourons beaucoup. J'espère que le régisseur de Monte-Carlo saura être patient. » Laurent Demaya garde, toutefois, confiance : « Il s'est rendu compte que même les artistes professionnels ont le trac avant d'entrer en piste. Et, en coulisse, la famille du cirque sait se serrer les coudes. » Pour sûr, à la poursuite de son rêve de cirque, Baptiste Raffy a bien l'intention de ne pas rater son rendez-vous avec les étoiles.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/01/30/1273157-valence-d-agen-baptiste-poursuit-son-reve-de-cirque.html
« Il arrivera sur place mardi. De mercredi à vendredi ce sont les répétitions. Samedi, il y a deux représentations et dimanche, c'est la remise des récompenses. » Occupé qu'il sera par l'organisation du Salon du livre jeunesse, au même moment à la halle Jean-Baylet, Laurent Demaya, le grand Monsieur Loyal de Noël en cirque à Valence-d'Agen, ne sera pas aux côtés de Baptiste Raffy lors de son séjour monégasque qui le verra prendre part à la première édition du festival de cirque « New Generation ».
à l'entendre décliner l'agenda de celui qu'il surnomme son « fils de cœur » - Baptiste est Mini M. Loyal sur la piste valencienne - il ne fait aucun doute qu'il l'accompagnera par la pensée. Déjà, lorsque Baptiste s'était rendu l'été dernier à Monaco avec ses parents, Fred et Patricia, pour rencontrer le directeur du Festival international du cirque, Urs Pilz, et que rien n'était sûr quant à la sélection du jeune goudourvillois, le directeur du centre de loisirs des Deux-Rives, à Gâches, lui avait adressé un message prémonitoire : « Baptiste, vise la lune, si tu n'y arrives pas, tu toucheras les étoiles ».
« Avant la première édition de Noël en cirque, en 2009, Jacques Bousquet m'avait demandé de trouver un garçon pour incarner le personnage de la mise en piste du spectacle. Un enfant qui croyait encore au Père Noël et qui devait lui faire part de son rêve de cirque. » Laurent Demaya s'apprêtait à faire le tour des enfants du mini-club de Gâches lorsque l'évidence lui est apparue. « Avec ma compagne, Corinne, nous sommes habitués à nous balader à Goudourville et, souvent, on s'arrête chez les parents de Baptiste, qui sont des amis. Lorsque je l'ai vu, à côté de moi, en train de jouer, je me suis dit que je tenais le candidat idéal ». Le visage d'ange de Baptiste ne suffisait pas, il allait falloir vaincre sa timidité enfantine.
Un saut dans l'inconnu
Pour ce faire, le père de Baptiste, Fred, était enrôlé pour jouer le rôle d'un clown sur la piste valencienne et rester proche de lui. Puis Laurent Demaya allait user de quelques ficelles pour lui donner confiance. « J'ai 17 ans de théâtre derrière moi… La première année, alors qu'il n'avait que 5 ans, pour qu'il lise plus facilement son texte, je lui avais dessiné des pictogrammes. »L'aventure pouvait commencer et l'aplomb du Mini M. Loyal faire le reste, même si, à quelques jours du grand saut monégasque, l'appréhension se mêle à l'excitation : « Baptiste part un peu dans l'inconnu. Quand il a écrit à la princesse Stéphanie, il lui demandait simplement d'aller voir son cirque. Le voilà propulsé au centre de la piste. Qu'aura-t-il à faire ? Présenter des numéros, réciter un texte… il n'aura que trois jours pour enregistrer tout cela et sera confronté à des vrais enfants de la balle. à Valence-d'Agen, nous l'entourons beaucoup. J'espère que le régisseur de Monte-Carlo saura être patient. » Laurent Demaya garde, toutefois, confiance : « Il s'est rendu compte que même les artistes professionnels ont le trac avant d'entrer en piste. Et, en coulisse, la famille du cirque sait se serrer les coudes. » Pour sûr, à la poursuite de son rêve de cirque, Baptiste Raffy a bien l'intention de ne pas rater son rendez-vous avec les étoiles.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/01/30/1273157-valence-d-agen-baptiste-poursuit-son-reve-de-cirque.html
lundi 6 février 2012
dimanche 5 février 2012
samedi 4 février 2012
vendredi 3 février 2012
jeudi 2 février 2012
mercredi 1 février 2012
Clowns : Jerry et Palto sur les traces de Bob
Jerry et Palto s'inscrivent dans la lignée du plus célèbre des clowns ardennais. Normal : Palto était le fils de Bob. Avec Jerry, il nous refait un drôle de numéro.
LE costume n'avait pas bougé de l'armoire depuis 1989, l'année où le clown Bob, alias Robert Didier, a tiré le rideau pour la dernière fois. Il a fallu plusieurs années pour que son fils Benoît, qui fut aussi son complice sur scène jusqu'à sa mort, le sorte à nouveau.
Tout ça grâce à une rencontre, celle de Jérôme Lavancier.
« On s'est connus au Tropic Carolo Combo en 1990 », raconte Benoît. « Jérôme m'a demandé un jour si on ne pourrait pas envisager de monter quelque chose ensemble. Et il y a quelques mois, j'ai rencontré quelqu'un qui avait bien connu mon père et qui voulait qu'on monte un petit spectacle pour les Restos du Cœur ».
Le spectacle, de 50 minutes, rencontre un succès immédiat.
« Normalement », indique Jérôme, « il n'aurait dû être joué qu'une fois mais ça s'est su dans le milieu et on a de nouveau été sollicités ». Depuis l'automne dernier, Jérôme et Benoît, alias Jerry et Palto, ont ainsi donné six représentations.
Trompette et pompe à vélo
Et c'est Jérôme qui a enfilé le costume de clown blanc de Bob. Question de morphologie, mais pas seulement.
« Le clown blanc est toujours plus grand, plus mince », explique Benoît. « Et moi, je me sens plus une âme d'Auguste ».
Quant à Jérôme, il est particulièrement fier de donner une seconde vie à ce costume.
« J'ai beaucoup de respect pour Benoît et pour son père, pour ce qu'ils ont fait ensemble. Et c'est pour moi un honneur de porter le costume de son père ».
Si Benoît a vite retrouvé ses automatismes (« J'ai été assez surpris, après toutes ces années, de retrouver mes gestes instinctifs et mon aisance sur scène »), Jérôme, même s'il a déjà fait du spectacle pour enfants, a dû apprendre le métier de clown sur le tas.
« Il a fallu que j'apprenne à me maquiller. Ça me prend quasiment une heure. Mais ce qu'il y a de bien avec Benoît, c'est que nous sommes complémentaires. Au niveau musical par exemple, lui, c'est plus les instruments à vent, moi, c'est plus les percussions et les cordes ».
Des instruments parfois étranges puisque la trompette ou la guitare côtoient la pompe à vélo, les clochettes ou la poêle à frire. Car le spectacle conçu par Jerry et Palto s'inscrit dans la plus pure tradition des numéros de clowns de cirque et fait rire les petits comme les grands.
« Un jour », confie Jérôme, « après un spectacle, quelqu'un est venu nous dire : on sent qu'il y a de l'amour entre vous. C'est beau, non ? »
Qu'est-ce que vous voulez ajouter à ça ?
Jerry et Palto : Clowns, Cirque et Compagnie. Tél. 03.24.40.27.92 ou 06.03.46.72.94 (ou jerryetpalto.ccc@yahoo.fr).
http://www.lunion.presse.fr/article/autres-actus/clowns-jerry-et-palto-sur-les-traces-de-bob
LE costume n'avait pas bougé de l'armoire depuis 1989, l'année où le clown Bob, alias Robert Didier, a tiré le rideau pour la dernière fois. Il a fallu plusieurs années pour que son fils Benoît, qui fut aussi son complice sur scène jusqu'à sa mort, le sorte à nouveau.
Tout ça grâce à une rencontre, celle de Jérôme Lavancier.
« On s'est connus au Tropic Carolo Combo en 1990 », raconte Benoît. « Jérôme m'a demandé un jour si on ne pourrait pas envisager de monter quelque chose ensemble. Et il y a quelques mois, j'ai rencontré quelqu'un qui avait bien connu mon père et qui voulait qu'on monte un petit spectacle pour les Restos du Cœur ».
Le spectacle, de 50 minutes, rencontre un succès immédiat.
« Normalement », indique Jérôme, « il n'aurait dû être joué qu'une fois mais ça s'est su dans le milieu et on a de nouveau été sollicités ». Depuis l'automne dernier, Jérôme et Benoît, alias Jerry et Palto, ont ainsi donné six représentations.
Trompette et pompe à vélo
Et c'est Jérôme qui a enfilé le costume de clown blanc de Bob. Question de morphologie, mais pas seulement.
« Le clown blanc est toujours plus grand, plus mince », explique Benoît. « Et moi, je me sens plus une âme d'Auguste ».
Quant à Jérôme, il est particulièrement fier de donner une seconde vie à ce costume.
« J'ai beaucoup de respect pour Benoît et pour son père, pour ce qu'ils ont fait ensemble. Et c'est pour moi un honneur de porter le costume de son père ».
Si Benoît a vite retrouvé ses automatismes (« J'ai été assez surpris, après toutes ces années, de retrouver mes gestes instinctifs et mon aisance sur scène »), Jérôme, même s'il a déjà fait du spectacle pour enfants, a dû apprendre le métier de clown sur le tas.
« Il a fallu que j'apprenne à me maquiller. Ça me prend quasiment une heure. Mais ce qu'il y a de bien avec Benoît, c'est que nous sommes complémentaires. Au niveau musical par exemple, lui, c'est plus les instruments à vent, moi, c'est plus les percussions et les cordes ».
Des instruments parfois étranges puisque la trompette ou la guitare côtoient la pompe à vélo, les clochettes ou la poêle à frire. Car le spectacle conçu par Jerry et Palto s'inscrit dans la plus pure tradition des numéros de clowns de cirque et fait rire les petits comme les grands.
« Un jour », confie Jérôme, « après un spectacle, quelqu'un est venu nous dire : on sent qu'il y a de l'amour entre vous. C'est beau, non ? »
Qu'est-ce que vous voulez ajouter à ça ?
Jerry et Palto : Clowns, Cirque et Compagnie. Tél. 03.24.40.27.92 ou 06.03.46.72.94 (ou jerryetpalto.ccc@yahoo.fr).
http://www.lunion.presse.fr/article/autres-actus/clowns-jerry-et-palto-sur-les-traces-de-bob
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