« Nous avons été prévenus le 4 février. C'est trop court pour organiser sa venue.
Quand la caravane est arrivée, les gendarmes ont dû réguler la circulation. Vingt-cinq poids lourds et une ribambelle de véhicules ne passent pas inaperçus. Mais le cirque a pu s'installer normalement « sur un terrain privé très stable, qui n'est pas inondé », confiait hier soir à l'issue de la représentation Hubert Bonnet, porte-parole du cirque et Monsieur Loyal.
« Cette interdiction est injuste, parce que nous avons envoyé un mail le 17 décembre. Je crois plutôt que notre demande a été oubliée dans les méandres de l'administration », déplore Hubert Bonnet.
« Cette interdiction est préjudiciable, parce qu'elle fait croire que nous prenons des risques. Nous ne sommes pas fous. Chaque cirque sait bien qu'au moindre incident c'en est fini de sa tournée », s'insurge l'artiste, qui invite le maire à venir au spectacle.
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